L’exploitation étant vieillissante, le lycée, en
collaboration avec la région, a réalisé un projet pour redonner un souffle
nouveau au domaine.
La volonté de l’établissement est de réunir une
problématique énergétique, une approche sociale, ainsi qu’une prise en compte
de l’environnement en préservant les ressources et la biodiversité.
Pour optimiser le temps de travail et sa qualité, le projet prévoit de construire un seul bâtiment pour les vaches laitières. Passer à 70 vaches en logettes et redescendre à une production laitière d’environ 10 000 kg/VL/an tout en valorisant au mieux le pâturage, permettra un meilleur confort des animaux. Rentre également en compte dans cet objectif, la proximité de la salle de traite et le logement des génisses, identique à celui des vaches laitières pour une meilleure adaptation. Ce nouveau bâtiment sera alors multifonctionnel.
Pour optimiser le temps de travail et sa qualité, le projet prévoit de construire un seul bâtiment pour les vaches laitières. Passer à 70 vaches en logettes et redescendre à une production laitière d’environ 10 000 kg/VL/an tout en valorisant au mieux le pâturage, permettra un meilleur confort des animaux. Rentre également en compte dans cet objectif, la proximité de la salle de traite et le logement des génisses, identique à celui des vaches laitières pour une meilleure adaptation. Ce nouveau bâtiment sera alors multifonctionnel.
Nous avons aussi un projet commun avec d’autres agriculteurs, qui est de construire un séchoir à foin de luzerne. Ce dernier serait chauffé à partir d’énergies renouvelables (solaire, bois et méthanisation).
Au niveau de l’atelier canin, il y aura la réfection du bâtiment, dans un avenir proche, une diversification des races et un travail en commun avec d’autres formations, sur la commercialisation des chiots.
Enfin, en ce qui concerne les volailles, un
changement important a été décidé. Notre production va évoluer vers un système
en agriculture biologique, avec une commercialisation en circuit court dans les
établissements scolaires de la région. L’abattage, quant à lui, se fera dans un
atelier collectif : une CUMA regroupant une douzaine d’agriculteurs pour
le moment, tout juste créé.
c'est sur que sa va faire du changement!!
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